Discographie

Nous nous immergeons dans un son, une idée de musique qui peut être joué aussi par des claviers, des cuivres, par des musiciens de jazz. Quoique jazz mais pas que…

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Ce disque a été réalisé sans montage, nous avons joué en direct, sans filet, avec la complicité de Ludovic Lanen, magnifique ingénieur du son qui a su retranscrire avec ses micros toute l’expression que nous avons pu développer durant cet enregistrement.

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« Les Beatles ont le désir de plaire à leur public, alors que les Mothers de Franck Zappa mettent celui-ci au défi. » Voici comment qualifia un critique musical la musique de Franck Zappa.

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L’instrumentation de ce trio reste assez rare dans l’univers du jazz et permet dans cet arrangement une grande liberté de jeu, d’invention et d’improvisation, sans jamais trahir l’esprit des œuvres proposées.

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Pétri d’une complicité de longue date, ce duo cultive en toute amitié un goût authentiquement partagé pour un lyrisme simple et généreux.

Quelques mélodies, lumineuses ou captivantes, sont  le fil conducteur d’un échange où l’improvisation insuffle une totale liberté de jeu, où l’audace du rythme galvanise les retrouvailles de deux solistes pour une jubilation de la danse, de l’harmonie, de la rencontre, du souffle et de la percussion.

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Et si la leçon des jours, n’était rien d’autre que l’enchevêtrement de la mémoire et de l’imaginaire ?

La musique est là, qui flue et reflue. Elle s’éloigne sur la pointe des notes pour mieux ressurgir, tantôt fugitive et exubérante dans la troublante profusion des histoires, tantôt sage, presque silencieuse, donnant à rêver en imprimant le cheminement du temps.

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Janis the PEARL, une création originale, avec des arrangements autour des grands standards de Janis Joplin tels que Mercedes Benz, Maybe, Move over, etc…

et des compositions originales qui témoignent de l’esprit musical de cette époque.

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« Le vin et la musique ont cette vocation et cette capacité identique à nous guider au plus profond d’un ressenti singulier à travers un cheminement le plus souvent personnel. Un son un refrain nous interpelle tout comme un parfum ou une saveur nous émerveille dans les fragrances d’un délicieux nectar. Ces sensations et d’allégresses essentielles sont des compagnons indissociables du plaisir de la vie.

Cette création a fait l’objet d’un enregistrement lors de la résidence. Le disque est produit par le label jazz international ENJA.

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C’est là, sur ses terres natales de Bourgogne, que Franck Tortiller a peaufiné et enregistré ce programme préparé à l’origine pour son Orchestre National de Jazz .

Dans ce coin de campagne, à l’écart des turbulences urbaines, il a pris l’habitude de réunir ses copains pour affiner ses projets, leur donner corps et vie au milieu du vignoble. Sentimental 3/4, révérence affectueuse aux trois temps de la danse, aura été le moins joué des projets menés avec son ONJ (2005 à 2008).

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Électrique… tel est le concept du nouveau programme de l’Orchestre Franck Tortiller.

Un répertoire de création qui n’oublie pas que l’électrification des instruments a été une révolution sonore dans les années 70, notamment pour des jazzmen tels que Miles Davis (albums «Bitches Brew», «On the Corner»), Herbie Hancock et les Headhunters, Joe Zawinul et le Weather Report.

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On ne sait pas vraiment si le propos de ces trois jazzmen est impertinent, il semble justement à l’extrême opposé : tout à fait à propos.

Dans ce rythme lancinant impulsé par le vibraphone de Franck Tortiller, le ton est donné. Les deux musiciens, Patrice Héral aux percussions et à la voix, Michel Godard au tuba, il s’agit surtout d’une ambiance, un rythme tranquille au pas d’éléphant qui se déroule sur treize pistes…

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Nommé en septembre 2005 à la direction musicale de l’Orchestre National de Jazz, le vibraphoniste Frank Tortiller a choisi de mettre à l’honneur au cours de son mandat le programme Close to Heaven, en hommage à Led Zeppelin.

Majoritairement composé de cuivres et de percussions, l’ONJ Frank Tortiller relève le défi en s’appropriant l’univers du fameux groupe de rock et signe une singulière adaptation.

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[su_tabs][su_tab title= »Présentation »]

L’expérience du trio n’est pas une nouveauté pour le vibraphoniste d’exception Franck Tortiller. En effet le trio « A boum » a été une étape importante et remarquée dans le monde du jazz.

C’est aussi naturellement qu’il décide de renouveler ce travail avec ses compagnons de longue date, Yves Torchinsky et David Pouradier Duteil.

La musique reste d’une fraîcheur et d’une énergie qui n’a d’égal que leur plaisir de jouer ensemble, évoluant autour de compositions de Franck Tortiller, de « standards à la française » ou d’improvisations collectives.

Le travail mélodique et harmonique propre à l’univers de Franck, la cohésion et l’inventivité de la rythmique font de ce projet une des priorités de Franck….[/su_tab] [su_tab title= »Album »]

Cd tracks

1. Early Down (Frank Tortiller)
2.  What is and what should never be (Jimmy Page, Robert Plant)
3. Un jour, tu verras… (Mouloudji, George Van Parys)
4. Ahmar-el-Nabi (Frank Tortiller)
5. Vibe Workshop (Yves Torchinsky)
6. If you (Frank Tortiller)
7. White Lady Downe’s seedling-solo (Frank Tortiller)
8. White Lady Downe’s seedling (Frank Tortiller)

[/su_tab] [su_tab title= »Distribution »]

Franck Tortiller Trio

• Franck Tortiller : vibraphone, marimba
• David Pouradier Duteil : batterie
• Yves Torchinsky : contrebasse

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[su_tabs][su_tab title= »Distribution »]

• Franck Tortiller : vibraphone, marimba
• Claudio Pontiggia : cor
• David Pouradier Duteil : batterie
• Yves Torchinsky : contrebasse
• Patrice Héral : percussions, voix
• Vincent Limouzin : marimba

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Cd Track

• Fabio (Franck Tortiller)
•  Khayyam (Franck Tortiller)
•  Lago (Franck Tortiller)
•  Les sept chemins. Intro (Franck Tortiller)
•  Les sept chemins (Franck Tortiller)
•  Local hero (Franck Tortiller)
•  Welcome, Elea (Franck Tortiller)
•  Les sept chemins. Reprise (Franck Tortiller)

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[su_tabs][su_tab title= »Présentation »]

Franck Tortiller est bourguignon ; et fils de vigneron. Aussi, quand il évoque la vigne, ce n’est pas l’image d’une plante vierge ou décorative qui s’impose ; mais celle, féconde, d’un cep porteur de raisin, promesse de vin : vitis vinifera.

Ce retour à la source, familiale autant que culturelle, est d’évidence pour ce brillant instrumentiste.

Adoubé par le Conservatoire de Paris, et aussi par le Concours National de Jazz de La Défense, il le fut aussi par la scène internationale : sa longue participation au Vienna Art Orchestra, pôle européen d’excellence, dit assez la place qui lui revient.

L’instrumentiste est d’abord musicien, et il offre dans ce disque toutes les facettes de son art : mélodiste, il est aussi chambriste dans l’âme, nourrit de cette indispensable cohésion qui fait du groupe une entité insécable. Et le quatuor vient en sus dire que la musique se joue des frontières.

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• Franck Tortiller, vibraphone, marimba • Matthieu Michel, bugle, trompette • Yves Rousseau, contrebasse • David Pouradier-Duteil, batterie • Vincent Courtois, violoncelle
• Quatuor à cordes : Marc-Olivier de Nattes, Nicolas Krassik, violons • Jean-Marc Apap, alto • Vincent Courtois, violoncelle
• Invités : Marc-Michel Le Bevillon, contrebasse • Marie-Ange Petit, percussions baroques

Guillaume Rondelet ©

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Trio Rousseau, Tortiller, Vignon

• Franck Tortiller : vibraphone, marimba
• Yves Rousseau : contrebasse
• Pascal Vignon : batterie

Réf. CC PRODUCTION 987619